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est la guerre en Irak Christopher Bollyn |
Le général Mark Kimmitt en Irak avec son
maître
d’œuvre sioniste, Dan Senor
Les sionistes utilisent les stupides militaires U.S. pour détruire le gouvernement irakien. Pendant ce temps, les sionistes obtiennent le contrôle des ressources irakiennes et ils tuent tranquillement les Irakiens gênants, comme ceux qui sont réfléchis ou ceux qui possèdent des connaissances utiles. Les sionistes répertorient et tuent aussi les Irakiens qui tentent de devenir policiers. La « reconstruction » de l'Irak est un canular. Les sionistes qui ont pris la direction, ne reconstruisent pas. Les étas-uniens sont dupés encore et encore. |
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Alors que le Congrès et le président
débattent
d'augmenter ou pas le bourbier irakien, le fait fondamental,
évité
par les porte-parole du gouvernement grâce à la pression
du
contrôle sioniste, est que l’occupation de l'Irak est la guerre
en
Irak, et vice-versa. C'est-à-dire que la soi-disant
guerre en Irak n'est rien d’autre que la violence associée
à
l’occupation militaire U.S..
Quand les armées étrangères
et leurs collaborateurs partiront d'Irak, la guerre finira. C’est aussi
simple.
Les occupations illégales de l'Irak et de l'Afghanistan, comme l’occupation sioniste de la Palestine, sont de continuels actes de guerre et d'agression qui provoquent et alimentent le conflit. Les mouvements de résistance populaires contre l’occupation illicite sont dans chaque pays les réponses normales et légitimes. Bien que cela soit rarement décrit en ces termes dans les médias, les États-uniens comprennent clairement que la très cruelle occupation de l'Irak est la cause sous-jacente du conflit qui ravage cette nation depuis l’invasion U.S. en mars 2003. Les récents sondages de l'opinion publique (décembre 2006) constatent que soixante-dix pour cent du public U.S. voulait que le nouveau Congrès fasse pression sur la Maison Blanche pour commencer le retour des troupes à la maison dans les six mois. Presque 80 pour cent du public U.S. appuie pour un retrait de pratiquement toutes les troupes U.S. d'Irak d'ici à 2008 et pour engager des négociations avec l'Iran et la Syrie. Avant le discours présidentiel sur l'Irak, Tony Snow, secrétaire de presse de la Maison Blanche, a déclaré que la décision du président ne sera pas infléchie par les sondages de l'opinion publique. Le commentaire de Snow indiquait que l'administration Bush espérait « faire revenir le public » à la guerre extrêmement impopulaire. « Le président ne façonnera pas la
politique en
fonction de l'opinion publique, mais il comprend qu'il est important de
ramener le public à cette guerre et de restaurer la confiance
publique
et son soutien pour la mission, » déclarait Snow le 9
janvier. Les États-uniens veulent sortir de l’Irak « Les dispositions des états-uniens sont absolument évidentes, » écrivait le professeur Adel Safty dans un article récent. « Ils veulent la fin de la guerre en Irak. » En Irak, plus de 90 pour cent du public veut que les troupes U.S. rentrent immédiatement et un pourcentage équivalent indique qu’ils [les irakiens] étaient de loin mieux sous Saddam Hussein. Une récapitulation des histoires récentes du
plus populaire
journal irakien, Azzaman,
révèle pourquoi la grande majorité
du public irakien est aussi fortement opposée à
l’occupation U.S.:
LE DÉSASTRE PLANIFIÉ Ces rapports révèlent l'anarchie et le chaos produits par l’occupation U.S. en Irak. Des résultats pareillement désastreux peuvent seulement s'appeler des échecs, à toute mesure -- à moins, bien sûr, que la création de l'instabilité et de la misère largement répandues soit dans l'intention des puissances occupantes. Bien que cela puisse sembler incroyable, les preuves suggèrent que ce soit effectivement le cas. Avec d’écrasantes majorités en Irak et aux U.S.A. exigeant la fin de l’occupation U.S., pourquoi nos responsables élus envisagent-ils d’envoyer davantage de troupes ? Les seuls individus soutenant l’envoi de plus de troupes sont les noyaux durs sionistes, comme Frederick Kagan, l’un des premiers planificateurs israéliens qui ont fortement poussé pour la guerre contre l'Irak. Fred est, ainsi que son père, Donald, et son frère, Robert, parmi les signataires du document de 2000 « Projet pour le Nouveau Siècle U.S. », qui exigeait précisément l'agression U.S. contre l'Irak. « Éliminer Saddam Hussein et son régime du pouvoir, » écrivaient Robert Kagan et tous les autres néo-conservateurs au président Clinton en janvier 1998, « … nécessite de devenir l’objectif de la politique étrangère U.S. ». Fred, le frère de Robert, dit maintenant au
président
d'envoyer plus de troupes dans le bourbier irakien : « Nous avons
besoin d'une poussée durable [des troupes] parce que nous devons
garder à l'esprit que nous faisons face à un ennemi qui
s'adapte
à notre stratégie, » disait Kagan, un érudit
permanent de l'American Enterprise
Institute. « Si nous faisons une
poussée brève ils nous attendront juste dehors. Nous
devons
pousser pendant au moins 18 mois. » LE CHAOS DE CONCEPTION SIONISTE Les néo-conservateurs ont toujours considéré qu’un Irak stable et fonctionnant bien était une menace à leur conception du Moyen-Orient, a écrit Abbas J. Ali, professeur de l'université de l'Indiana, dans son récent article « Cibler les sadristes, viser l'Irak. » Michael Ledeen, le stratège néo-conservateur, dit que l'instabilité du Moyen-Orient est l'état politique préféré parce qu'il facilite le contrôle U.S. sur la région. « La stabilité est indigne d’une mission U.S. et, par dessus le marché, un concept fallacieux, » disait Ledeen. « La véritable question n'est pas si [l’on doit déstabiliser], mais comment déstabiliser. » Après trois ans d’occupation U.S., la vie des Irakiens est devenu extrêmement instable, malheureuse, et désespérée. Les Irakiens quittent le pays en masse. La misère largement répandue en Irak a-t-elle été créée à dessein -- à dessein sioniste -- comme le suggère le commentaire de Ledeen ? Quand nous considérons que Simone, la fille de Ledeen, est allée à 28 ans en Irak en automne 2003 comme conseillère au ministère des Finances du gouvernement d’occupation à Bagdad, et qu’elle a joué un rôle clef dans l’établissement du régime des collaborateurs, la réponse semble évidente. [Dans sa
rubrique] « In short order
», le Washington Post a
rapporté
que, « six des nouvelles embauches de jeunes (celle de Ledeen
comprise)
se sont retrouvées à gérer le budget de 13
milliards
de dollars du pays, prenant des décisions qui affectaient des
millions
d'Irakiens. » LE TERRORISME "HAUTEMENT-SOPHISTIQUÉ" Un article récent de Azzaman (du 13 décembre 2006), confirme le soupçon qu'une grande partie du chaos et du carnage était effectué par des services secrets étrangers et leurs agents -- et non par des Irakiens : Chez les dirigeants du mouvement Sadriste au parlement existe la grande crainte que leurs disciples soient visés. Ils croient que l'appel pour la poussée des troupes étrangères à Bagdad aille au-delà de l'intimidation. Les troupes étrangères, arguent-ils, ne dirigeront pas leur puissance contre les terroristes.
Pris par la police irakienne, l'armée britannique a pris des mesures extrêmes en aplatissant au bulldozer la prison pour obtenir la libération des faux terroristes chiites avant qu'ils puissent être interrogées et accusés du crime de terrorisme. Voir : Bollyn-Balkanize_Iraq.html
L'OCCUPATION SIONISTE La phase de gestion de la désastreuse occupation de l'Irak est [dirigée] à haut niveau par des agents sionistes en liens étroits avec Israël. Ces agents supérieurs, avec des liens évidents à l'État d'Israël, ont joué un rôle clef en guidant (ou en conseillant mal) depuis le début les U.S.A. qui mènent la guerre et l’occupation. Il devrait être noté qu’Israël est en situation de guerre avec l'Irak depuis que l'État sioniste a été établi en 1948. Les U.S.A. utilisant sciemment des agents israéliens hostiles et ennemis pour planifier et établir l’occupation militaire en Irak, cela indique que l’occupation est, en fait, de conception sioniste. Dans ce cas, la motivation de créer le chaos et le carnage largement répandus est tout à fait évidente -- c'est simplement une partie de l'ordre du jour sioniste, la déstabilisation et le démembrement de l'Irak tout en s’emparant de ses capitaux et de ses ressources stratégiques par des magouilles de vols et de privatisations. Tandis qu'il existe certainement une masse d'agents sionistes anonymes impliqués dans l'agression et l’occupation de l'Irak, des États-uniens comme Simone Ledeen, avec des liens documentées à Israël détenaient des positions à haut niveau lors de l'établissement de l'autorité de l’occupation. La compréhension
de leurs liens à l'état d'Israël explique pourquoi
l’occupation
a été un désastre total pour la nation irakienne
et
son peuple. DANIEL SAMUEL SENOR
Durant la phase initiale de la guerre en Irak, jusqu'au 1er mai 2003, Dan Senor était à 31 ans directeur du Centre d'Information de la Coalition au QG de CENTCOM au Qatar. Plus tard, Senor a servi de conseiller supérieur pour L. Paul Bremer III, administrateur de l'Autorité Provisoire de la Coalition (CPA), qu'il a conseillé sur diverses questions de politique et de communications. Senor, certainement l’un des agents le plus hauts placés d'Israël pendant la guerre, est allé à Bagdad en mi-avril 2003 où il est resté comme autorité à haut niveau de la CPA jusqu'à juin 2004, quand Bremer s’est secrètement rapidement envolé du pays. Alors que la biographie de Senor, sur le site Internet de la Maison Blanche, révèle qu'il a obtenu un diplôme à l'université de l'Ontario occidental et à l'université hébraïque de Jérusalem, elle n'indique rien au sujet de ses parents. C'est une décision prudente pour dissimuler les liens de la famille Senor avec Israël. Dan est le fils de Helen et du défunt James M. Senor, qui a été élevé à Cleveland. Née tchécoslovaque, Helen Senor habite Toronto où elle a travaillé pendant 26 ans comme secrétaire du général consul israélien. « Pendant 26 ans, je me suis sentie comme habitant en Israël cinq jours par semaine. Je suis entourée par des israéliens et la langue hébraïque, et tous les soucis sont au sujet d’Israël, » déclarait-elle. Elle a dit à la presse juive qu'elle et son défunt mari étaient d’ardents sionistes. Elle a deux enfants et deux beaux-fils, deux d’entre eux vivant en Israël. James était directeur national de la Société Canadienne pour l'Institut Weizmann de la Science. James travaillait auparavant à l'Agence Juive en Israël, l'organe central du réseau sioniste mondial. Avant de se déplacer à Jérusalem, dans les années 50 et 60, le plus ancien Senor était directeur du Centre de la Communauté Juive à Utica dans l’État de New York. À 22 ans Dan Senor était interne au Comité des Affaires Publiques Israël U.S. (AIPAC), le lobby israélien à Washington. Sa sœur, Wendy Senor Singer, dirige le bureau de l’AIPAC à Jérusalem, et son beau-frère, Saul Singer, est rédacteur de droite au Jerusalem Post. De 2001 à 2003, avant d'aller en Irak, Senor
travaillait pour
le groupe Carlyle. Le groupe Carlyle, l’une des plus grandes
firmes à
capitaux privés du monde, est étroitement lié
à
la famille Bush. Senor était aussi directeur de Échanges
d’Affaires U.S.-Israël.
Senor était manifestement un agent sioniste
bien placé, préparé pour contrôler
l’occupation
et l'hostile putsch sur les
capitaux de l'Irak, mais il n'était pas
seul. MICHAEL PAUL FLEISCHER L'hostile putsch sur des capitaux stratégiques de l'Irak était manifestement le plan sioniste depuis le début. Ce plan était de prendre la richesse de l'Irak en gérant la privatisation des usines et des ressources irakiennes. Les agents de cette intrigue ont été soigneusement choisis par l'administration Bush. L. Paul Bremer, ancien PDG de Kissinger Associates, a été nommé Directeur de Reconstruction et de l'Aide Humanitaire de l'Irak d'après-guerre, le 6 mai 2003. Avant sa mission en Irak, Bremer était PDG président de Marsh Crisis Consulting, une firme de services d'assurance et de risques, filiale de Marsh & McLennan. Comme dirigeant de la CPA, Bremer avait complète autorité sur l'administration civile irakienne. Il a servi à cette fonction à partir du 11 mai 2003 jusqu'au 28 juin 2004, quand un gouvernement de marionnettes a été installé. La « triste performance » de la CPA dans l’amélioration de la qualité de vie des Irakiens sous son occupation était le résultat d'un « mélange toxique d’obsession idéologique et de copinage, » selon Paul Krugman du New York Times. « L'insurrection s’est enracinée durant les premiers mois de l’occupation, quand la CPA semblait étrangement désengagée des problèmes de l'anarchie d'après-guerre. Mais est-ce que Paul Bremer III, le dirigeant de la CPA, se focalisait dessus ? » a demandé Krugman. « Selon un journaliste du Washington Post qui a volé avec lui en juin passé, ‘ Bremer discutait de la nécessité de privatiser le gouvernement dirigé par les usines avec une telle ferveur que sa voix perçait le vacarme que faisait [l’avion] cargo ‘ », écrivait Krugman en juillet 2004. Bush a nommé son ami et sympathisant politique, Thomas C. Foley, directeur du « Développement du Secteur Privé » en Irak occupé en août 2003, le mettant à la tête des 200 entreprises d'État irakiennes qu’il était prévu de privatiser. Michael P. Fleischer, le frère de Ari Fleischer, directeur des communications de la Maison Blanche, a été fait directeur adjoint de Foley.
Fleischer est décrit comme un « homme d'affaires du New Jersey, » qui a pris un congé sabbatique de Bogen Communications International, Inc., où il était président et membre du conseil d'administration depuis 1997. « Le succès de M. Fleischer comme entrepreneur, directeur, et chef de file des affaires dans le milieu des affaires internationales sera d'une valeur énorme pour la CPA et l’Irak, » disait le communiqué de presse du CPA au sujet de sa promotion. Fleischer et Bremer n'ont apporté aucune valeur à l’Irak, ils ont plutôt pris la valeur de l'Irak. C'était leur tâche. Pendant la période entière de la CPA, par exemple, il n'y avait aucun mesurage de la production pétrolière irakienne, l'exportation la plus précieuse de l'Irak. Mais est-ce que Michael Fleischer travaillait réellement pour l'Irak ? La preuve est claire que Fleischer a longtemps été un agent payé par l'État d'Israël, employé du Renseignement militaire israélien. Bogen, à l'origine une compagnie d'électronique U.S., a été l’atout du Renseignement militaire israélien depuis 1995. Fleischer a été fait à président de Bogen en 1997, quand les propriétaires israéliens ont décalé les sièges. Bogen est en réalité possédé et dirigé par une poignée d'agents israéliens, en lien étroit avec l'armée de l'air israélienne. Les gens qui ont engagé et payé Michael Fleischer sont d’anciens pilotes de combat israéliens, Yoav Stern et Zivi R. Nedivi. Ces Israéliens ont été impliqués dans une série de compagnies d'électronique, d'aviation, et d'avionique, depuis qu'ils sont venus aux U.S.A. dans les années 90. Ce sont les deux anciens directeurs et officiers de Rada, la compagnie « bateau mère » basée en Israël. Rada (rada.com)
est dirigé par des officiers supérieurs de l'armée
de l'air israélienne.
Bodinger a servi dans les forces de l'air israéliennes pendant 35 ans. Il était commandant de ces forces de janvier 1992 à juillet 1996. Tous les cadres supérieurs de Rada ont une expérience semblable dans les forces de l’air israéliennes. Ces officiers des forces de l'air israéliennes sont les maîtres d’œuvre sionistes qui contrôlaient Michael Fleischer, avant, pendant, et après sa besogne assignée en Irak. « Le seul paradigme qu'ils connaissent est le copinage, » disait Fleischer à propos des Irakiens. Il devrait le savoir. |